De Gières au col du Gourlu

Randonnée pédestre en Belledonne

Nous proposons aux randonneurs au cours de cette randonnée de rejoindre les hauteurs de Gières, au-dessus du fort du Mûrier et de découvrir de très beaux points de vue sur les trois massifs ainsi que sur la vallée de l'Isère. Ce panorama sera magnifiquement souligné par les couleurs chatoyantes qu'arbore la forêt à cette saison.

Itinéraire

De la place de la république, traverser la Grande Rue pour vous engager rue Victor Hugo, en direction du Parc Michal. Passer devant la Mairie et rejoindre le cours des Taillandiers. Le départ du sentier est à l'intersection de la rue du repos et de l'avenue Henri Duhamel. Le chemin passe près des réservoir, puis s'élève rapidement sur l'épaule nord de la colline du Mûrier. 200 m plus haut ; le chemin retombe sur la route d'accès au Mûrier, à coté du fort. Se diriger vers le village, puis suivre la direction de Villeneuve d'Uriage. Peu après, le chemin en balcon surplombe la combre encaissée de Gières. Après 500m, au niveau des Combettes, prendre à droite en direction du col du Gourlu.

Au col, prendre à droite vers les batteries hautes. Le chemin longe les édifices qui contenait les pièces d'artillerie. Juste avant, les randonneurs pourront monter au sommet la colline : meilleur point de vue de la balade. 1 km plus loin, après avoir amorcé un grand virage à 180°, rejoindre puis traverser la D112 et se diriger vers le hameau du Bigot. Traverser le village puis prendre à droite en direction des Collodes, 1 km plus loin. Là prendre la route pour rejoindre le Mûrier. Au croisement, avant de reprendre le même itinéraire qu'à la montée pour rejoindre Gières.

Un peu d’histoire

Le fort du Murier fait partie de l'ensemble défensif de la place Grenobloise. Il est construit entre 1875 et 1879. Il est positionné pour barrer la vallée du Grésivaudan avec les forts du Bourcet, des 4 Seigneurs et du Saint Eynard. Il avait une capacité de 430 hommes, était équipé de batteries hautes et batteries basses.

Ce topo ne constitue en aucun cas une sécurité pour son utilisateur. Ce dernier pratique la montagne à ses risques et périls, est autonome et responsable de lui-même et des gens qu’il emmène. Dans le cas contraire, il fera appel à un professionnel de l'encadrement.